Dans cette vidéo, Greg répond au commentaire de Pierre qui pose une question très intéressante :

« Greg pour investir 500 000 euros, vous deviez gagner 8754 euros par mois »
Dans cette vidéo, on vous dit ce qu’il en est :

Commentaire de Pierre: « Greg, pour investir 500 000 €, vous deviez gagner plus de 1 700 € par mois ? » Bonjour, ici Greg, je suis indépendant financièrement grâce à l’immobilier. Dans cette vidéo, je vais répondre aux commentaires de Pierre qu’il a laissés sur une de nos anciennes vidéos. C’est une vidéo où on donne tous les chiffres de notre dernier investissement à plus de 500 000 €. Donc, je vais essayer de mettre un lien. Sinon le titre de la vidéo, je crois que c’est tout simplement « investissement à 500 000 € », tous les chiffres, quelque chose comme ça quoi. Bon je vais essayer d’être bref sur la vidéo. Donc, le commentaire que Pierre a laissé : « Bravo et félicitation ! » Merci pierre. « J’ai essayé de faire la location à courte durée et ce n’est pas mal ».

 Je suis d’accord avec toi, ce n’est pas mal. « J’ai regardé toutes vos vidéos ». Encore merci pierre, bravo, tu es sur le bon chemin. « J’ai une seule question : comment pouvez-vous persuader votre banquier qu’il vous suit pour un crédit de 2 918 € par mois ? »Dans la vidéo, juste pour que vous compreniez, on explique qu’on a un crédit de 2 900 € par mois pour faire notre investissement à 500 000 €. En comptant 33 % de taux d’endettement,  nos revenues sont de 8 754 € par mois. C’est-à-dire que chacun gagne à peu près 4 377 € net. C’est un salaire souhaité par beaucoup de Français. Est-ce que vos salaires sont comme cela ?

Si oui, comment faire le financement ? Donc, honnêtement, je comprends le commentaire de Pierre, je comprends son calcul. C’est comme ça que moi je fonctionnais avant. Qu’est-ce que Pierre fait ? En fait, il se dit: « il y a un crédit de 2 900 €, on ne peut pas dépasser les 33 % de taux d’endettement ». Donc, les revenues que devaient avoir Greg et Élodie, ma femme Élodie, étaient de 8 754 € par mois. Je comprends honnêtement qu’il fasse le calcul. Et pourquoi ? Parce que c’est ce que tout le monde nous rabâche, et c’est comme ça, en fait, que moi aussi je pensais avant de vraiment investir dans l’immobilier, je pensais qu’il fallait absolument être en dessous de cette barre des 33 %.

Et heureusement, honnêtement,  ça ne fonctionne pas comme cela et parce que sinon on n’en sera jamais arrivé là où on en est. Pour vous expliquer cela, je vais vous expliquer comment nous, on a commencé, dans l’immobilier. Je vais vous raconter l’histoire de: comment on s’est lancé. Donc, au début de notre vie on habitait à Paris. J’étais en stage de fin d’études. Je voyais des collègues qui gagnaient de l’argent avec l’immobilier. Ils avaient des apparts, généralement un, ou voir deux et touchaient le loyer de leurs apparts. Eh donc, je me suis dit : « moi aussi, je veux me lancer dans l’immobilier, pour commencer à me créer du patrimoine et générer des revenus ».

Donc, à l’époque, on a été à Paris, les prix étaient très chers à Paris. Je pense qu’ils sont encore très chers. Et honnêtement, ce n’était pas rentable d’investir à Paris, donc on a investi à la région d’où on venait. On a investi en Corrèze, où s’était bien plus rentable. On a trouvé un bien. Voilà, c’était une bonne première affaire. C’était un appartement qui était déjà occupé par un locataire. Donc, il n’y avait « entre guillemets » pas grands chose à faire, une fois qu’on a réussi à le négocier, c’était une affaire rentable pour commencer.

Donc, on savait très bien que la rive des 33 %, c’était facile pour nous, parce qu’on venait tout juste de se lancer dans la vie active. On était encore dans notre appartement d’étudiant, on avait un petit loyer « entre guillemets » et on n’avait aucun crédit, pas de voiture, et rien du tout, donc, c’était assez facile de trouver le premier investissement. Quelque temps plus tard, on a décidé de descendre à Marseille parce qu’on a eu marre de la vie à Paris, la vie enfermée dans un appart, enfin, peu importe, on est descendu à Marseille.

Cela faisait peut-être un an et demi qu’on avait déjà fait notre premier investissement, quelque chose comme ça. Et on a été assez content parce qu’en gros, tout ce qu’on avait fait c’était de négocier un appart. On n’était même pas allé à la signature chez le notaire, parce que la signature était en Corrèze. On a délégué les droits pour la signature. On n’a quasiment rien fait, on avait les loyers qui tombaient, donc on s’est dit : « il faut qu’on recommence. » Une fois à Marseille, on a regardé un petit peu les prix, et on s’est dit: « C’est rentable à Marseille, il faut qu’on tente Marseille. On va faire notre deuxième investissement. »

Qu’est-ce qu’on a fait ? On a commencé par aller voir notre banque.  Ah, classique, qu’est-ce que vous faites ? Avez-vous besoin de l’argent pour faire de l’investissement ? De ce fait, vous commencez à aller voir votre banque, tout le monde fait ça. Quand on allait voir notre banque, on lui dit : « on veut refaire un investissement à peu près équivalent à ce qu’on a déjà fait en Corrèze. » Et donc la réponse de la banque : « Ah monsieur ! Ce n’est pas possible. Vous êtes déjà endetté à 40 % », parce que quand on est descendu à Marseille, moi, j’avais déjà un travail.

Et puis, Élodie, elle a dû quitter son travail à Paris. Et quand elle est arrivée à Marseille, elle n’a pas trouvé tout un travail. Et donc, du coup, on avait moins de revenus, et cela a augmenté notre taux d’endettement. On avait passé la barre des 33 %, on est arrivé à 40 %. Et donc, la banque nous a dit : « laissez tomber ». Honnêtement, un gros coup de déprime. D’une, il va déjà falloir attendre qu’Élodie trouve un boulot du côté de Marseille. Même si c’est un secteur où il y a de l’emploi, ça ne se fait pas non plus en deux jours.

Deuxièmement, franchement on s’est dit là, on ne va jamais être riche. On n’est pas prêt de quitter notre boulot, pour vivre de l’immobilier si à chaque fois, on est bloqué comme cela. Honnêtement, ça a été la grosse déprime. Ça a duré, je pense, deux mois, donc la petite musique de déprime… je suis déprimé. Et on a fait comme la banque nous a dit, on a attendu qu’Élodie trouve un job. Donc cela s’est fait quelques mois plus tard. Dès qu’Élodie a eu son travail on a été au taquet, on avait à refaire pleine de visite, et on avait trouvé une bonne affaire, en quoi, en un à deux mois.

Donc on allait revoir la banque, tout fier, c’est bon, on a la bonne affaire.  Élodie a trouvé un boulot. Donc c’est bon pour se faire financier puis c’est parti, et commencer à devenir riche. Et donc, à la banque, et là, la banque nous dit : TUT… non-non-non-non-non, vous êtes toujours endettés à 40 %. Élodie est en période d’essai. On ne peut pas tenir compte de ses revenus, parce qu’elle est en période d’essai. Donc là, re-deuxième grosse déprime. Comment on va faire ? Comment on va faire ? Bon, après, on s’en doutait un peu, vu qu’elle est encore en période d’essai, que ça n’allait pas n’ont plus être facile avec notre banque.

On avait fait deux choses. On a construit un dossier sérieux, qui expliquait bien notre investissement. Et la deuxième chose, très importante, on allait voir d’autres banques. Et on s’est dit : « Tant qu’on n’a pas trouvé une banque qui nous finance, on ne lâche pas l’affaire ». C’était assez facile finalement. On a vu trois banques, il y a deux qui nous finançait : une sur vingt ans, une sur vingt-cinq ans. On a pris le financement sur vingt-cinq ans, et on a pu faire notre investissement. Donc, on a signé, l’acte d’achat, et puis on a mis un locataire dedans, et puis dès qu’on a mis un locataire dans cette maison, on s’est dit : « il faut qu’on recommence. »

Donc le plus important dans cette histoire, qu’est ce qui a apporté le plus de valeur ? Ce n’est même pas l’investissement qu’on a fait, c’est qu’on a commencé à comprendre : comment fonctionnaient les banques? Qu’est-ce qu’elles attendaient de nous ? Qu’est-ce qu’il fallait leur présenter ? Quels étaient les éléments à leur apporter ? Comment a-t-il fallu présenter des choses pour qu’elles puissent vous suivre ? C’est à ce moment-là aussi qu’on a commencé à comprendre que toutes les banques ne fonctionnaient pas de la même façon, et non qu’est-ce qui fallait expliquer à chacune.

Et à ce moment-là, Élodie n’était pas hyper motivée par son nouveau job à Marseille. Et nous on avait encore envie de continuer à investir. Et donc, on s’est dit : « attend, maintenant qu’on avait compris comment fonctionnaient les banques, on a réussi à avoir cet emprunt, alors qu’on était endetté à 40 %, moi, j’ai l’impression qu’on peut continuer en appliquant le même processus. On pensait savoir, mais on n’était pas super sûr, parce que c’est une idée que vous vous faites quoi. Alors, qu’est-ce qu’on a fait tout simplement, en fait ?

C’est Élodie qui l’a fait, elle avait téléphoné au banquier, en lui a demandé si on refait la même opération avec les mêmes variables. Donc, racheter un troisième appartement, et le même statut qu’Élodie est toujours en période d’essai, ou même si Élodie n’avait pas de boulot, est-ce que vous nous suivrez ? Et donc là, le banquier nous dit: “Eh oui ! Bien sûr ! Pas de problème”. Franchement, cette conversation avec le banquier elle a changé notre vie. Voilà le soir, on en a énormément parlé avec Élodie. Et on s’est dit: “ce qu’on veut, c’est l’indépendance financière.

Pour y arriver, il faut consacrer du temps à ces investissements, il faut trouver des investissements, et le mieux, c’est qu’il y ait un de nous deux qui arrête de bosser pour qu’on puisse aller encore plus vite vers l’indépendance financière”.  Et donc, quelques jours plus tard, Élodie est allée voir son boss, et elle est partie. Et depuis, on a fait quatre investissements, dont le dernier plus de 500 000 €, alors qu’on a largement dépassé la barre des 33 %. Quelle règle, moi j’ai retiré de cette histoire et qu’est-ce que vous vous pouvez en retenir ? Maintenant, la chose que je ne fais plus du tout c’est aller voir la banque, et ensuite chercher un investissement.

Je fonctionne toujours dans l’autre sens. Je trouve d’abord un investissement, et ensuite, je vais voir la banque. Je sais que ça va quand même choquer beaucoup, parce qu’il y a beaucoup de personnes qui conseillent d’aller voir votre banque, regarder comment vous pouvez investir. Quelle somme vous pouvez investir avant de vous lancer ? Je ne fais plus du tout ça. La première chose que vous devez faire c’est comprendre comment fonctionnent les banques ? Ce qu’elles attendent de vous ? Qu’est-ce que vous devez leur présenter ? Bien sûr, si vous êtes un couple, vous êtes tous les deux en chômage, ça va être compliqué.

Mais s’il y a un qui bosse, et que petit à petit, vous faites de bons investissements, ça va être de plus en plus facile pour vous. Pour savoir comment fonctionnent les banques. Il y a deux méthodes. Vous pouvez aller voir des formations, comme notre formation “l’immo qui rapporte” comme nous de temps en temps où on explique : comment fonctionnent les banques ? Comment avoir votre financement ? Vous pouvez faire exactement comme nous on a fait. On est allé voir beaucoup de banques, on a essayé de comprendre, on a étudié comment ça a fonctionné.

On a parlé, on a posé beaucoup de questions aux banquiers dans différentes banques. Je ne sais pas aujourd’hui, je ne sais pas peut-être, on a fait, je ne sais pas, plus d’une dizaine de banques. On a parlé, je ne sais pas, à une trentaine de banquiers. On pose toujours les mêmes questions pour voir comment eux ils fonctionnent par rapport à d’autres banques.  Voilà, je pense qu’aujourd’hui, on a une bonne photo de comment fonctionnent les banques. Donc vous avez ces deux méthodes-là, soit vous pouvez prendre une formation, soit vous pouvez aller voir vous-même les banques et apprendre par vous-même.

C’est un peu plus long et c’est peut-être un peu plus couteux, mais c’est aussi la méthode qu’on a utilisée. Le point le plus important, c’est vraiment pour moi de d’abord trouver, tout de suite son investissement, et ensuite d’aller voir la banque. Parce que même si vous allez voir une banque en simulant, entre guillemets, que vous avez déjà trouvé un appartement. On peut aussi faire ça, simuler que vous avez déjà trouvé un appartement. Si jamais, la banque vous refuse, vous allez être beaucoup moins motivé pour trouver des solutions pour financier votre projet.

Donc, vraiment, si vous savez déjà un peu comment fonctionnent les banques : d’abord,  trouvez un investissement rentable, et ensuite voir une banque pour vous faire financier. Au pire, qu’est-ce qui va se passer ? Vous allez signer votre compromis, et bien sûr, vous ajoutez une close, comme quoi, si vous ne trouvez pas de financements vous ne pouvez pas acheter l’appartement. Et si jamais vous ne trouvez pas de financement tant pis vous n’achèterez pas cet appartement. Vous allez apprendre, mais vous n’aurez pas pris un gros risque. Alors que moi, depuis que je faisais cela j’ai toujours réussi à financier mes appartements. Pourquoi ? Parce que je suis commuté à chaque fois pour trouver le financement de mon prochain investissement.

Voilà, c’était Greg, j’espère que vous avez aimé cette vidéo. Si c’est le cas, laissez un “like” sous la vidéo, et puis surtout en ce moment on a un cadeau qu’on vous fait. On vous explique comment on a atteint l’indépendance financière. Pour accéder à ce cadeau, c’est simple, il suffit de cliquer sur le lien sous la vidéo, et moi, je vous dis à bientôt pour une prochaine vidéo. Tchao-tchao.

Written by : Greg et Elodie

Greg et Elodie gagnent plusieurs dizaines de milliers d'euros de loyer tous les mois. Aujourd'hui, ils accompagnent des centaines d'élèves à devenir rentiers de l'immobilier.

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